L’Homme qui aimait trop les livres
d’Allison Hoover Bartlett
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cyril Gay
Un voleur de livres rares, un libraire obstiné,
l’histoire d’une traque haletante entre deux amoureux du livre.
Jusqu’où iriez-vous pour mettre la main sur le livre de vos rêves ? Mieux encore, jusqu’où iriez-vous pour avoir une bibliothèque remplie de vos livres préférés ?
John Gilkey est l’un des voleurs de livres les plus prolifiques de sa génération. Jusqu’en 2003, il a dérobé près de 200 000 dollars de livres anciens. Son but, réunir une collection à son image. Dès lors, comment attraper un voleur qui ne subtilise des livres que pour compléter sa propre bibliothèque ?
C’était sans compter sur la ténacité de Ken Sanders, libraire de livres anciens irascible à Salt Lake City, qui s’improvise détective et se surnomme biblioflic. Des personnalités hautes en couleurs. S’ensuit une longue poursuite entre un voleur obsessionnel et un libraire obstiné prêt à bondir au moindre faux-pas.
À travers le récit de cette traque unique en son genre, Allison Hoover Bartlett nous plonge dans l’univers fascinant du livre ancien en se posant toujours cette question : de quoi serions-nous capables nous aussi par amour des livres ?
Elle écrit entre autres pour le New York Times, le Washington Post, le San Francisco Chronicle Magazine. L’article à l’origine de ce livre a été repris dans l’anthologie The Best American Crime Reporting 2007.
« Dans ce récit haletant, Bartlett nous plonge dans la tête d’un des criminels les plus excentriques de notre temps. »
The Associated Press« Bartlett est une journaliste méticuleuse et passionnée, à la limite de l’obsession… Son livre est le récit splendide d’un genre de crime tout à fait particulier et d’une curieuse fascination. »
Minneapolis Star Tribune